The Hog, la nouvelle censurée et jamais publiée de Charles Bukowski
Traduite
par votre fidèle serviteur... Ne cherchez pas, vous ne la trouverez
nulle part. Il n'existe que deux impressions de cette nouvelle gardée
bien au chaud par les éditeurs frileux à souhait, dont une qui est
partie aux enchères à plus de 27 000 dollars. Jetez un œil à cet
article :
https://nypost.com/2019/03/13/you-can-buy-charles-bukowskis-banned-bestiality-tale-for-27k/
. L'Ignatius a néanmoins pu accéder au manuscrit original, datant
de 1982. La nouvelle est déclarée impubliable par les éditeurs car
trop obscène, quelle bande de lavettes ! Allez trêve de blabla,
lisons maintenant ce qu'écrivait notre cher Buk ; âmes trop
sensibles s'abstenir.
Le
porc
J'ai
travaillé pour M. David K. Sorenson pendant des années. J'ai
commencé, plus ou moins, en tant que domestique puis j'ai gagné sa
confiance et je suis devenu un confident dans la plupart de ses
affaires personnelles. M. Sorenson payait bien. L'on disait que
c'était l'un des dix hommes les plus riches au monde.
En
tant que confident de M. Sorenson je n'étais pas trop sûr de la
nature réelle de mon travail, mais pour le dire sommairement,
j'étais peut-être son homme "ramène-moi ça". Quand il
souhaitait quelque chose je sortais et lui "ramenais".
Durant les premières années dans ce boulot les choses que je
procurais à M. Sorenson étaient plutôt ordinaires : chaussures,
sous-vêtements, chapeaux, ceintures, montres, automobiles et ainsi
de suite. Par la suite une altération se produisit et les choses que
je ramenais pour M. Sorenson changèrent quelque peu.
À
52 ans il avait eu cinq épouses. Il avait divorcé de la dernière à
48 ans. Depuis lors je lui avais "ramené" des filles, des
centaines de filles — des starlettes, des prostituées de haute
volée, des serveuses, des danseuses nues ; je trouvais ces
attirantes jeunes femmes pour M. Sorenson partout. Puis j'ai senti un
changement. J'ai senti que toutes ces filles ne satisfaisaient plus
M. Sorenson, il semblait mécontent. La plupart du temps, quand je
lui en ramenais une il la regardait et me disait, « paye-la et
fous-la moi dehors ! »
Il
était évident que M. Sorenson avait des problèmes. Et un jour il
m'en parla. Il était dans la véranda assis dans une chaise longue
ayant vue sur la mer. Il tenait son verre à la main et paraissait
contemplatif. Il devenait rougeaud et gros ; c'était plutôt triste
: il était autrefois bel homme mais maintenant c'en était fini.
Il
fixa la mer par-dessus son verre.
«
Dale, » dit-il...
«
Oui, M. Sorenson ? »
«
Dale, je ne sais pas comment dire ça. Mais ... J'ai besoin d'aide. »
«
Qu'y a-t-il, M. Sorenson ? »
«
Bon, je ne sais pas jusqu'où remonter, Dale. Mais il y avait ce
comédien, Lenny Bruce... »
«
Oh, j'ai connu Lenny Bruce, M. Sorenson. »
«
Bien. Alors, il avait eu un certain dialogue une fois et j'en avais
beaucoup ri, c'était très drôle. Mais maintenant je suis devenu
l'essence de ce dialogue. »
«
Lequel, M. Sorenson ? »
«
Que Dieu ou quelqu'un me vienne en aide, Dale, mais c'est celui où
Lenny n'arrête pas de dire encore et encore : "JE NE PEUX VENIR
! JE NE PEUX VENIR !" »
"Oh..."
Il
vida son verre, puis regarda le verre vide.
Il
le fit voler dans les airs.
«
Vous voulez un autre verre, M. Sorenson ? »
«
Bien entendu, Dale ! Ne vois-tu pas que je fais face à une crise de
non-baise ! »
Je
suis retourné à l'intérieur et me suis occupé de lui en remplir
un à nouveau. C'était difficile d'être un confident.
Je
suis sorti et j'ai tendu le verre à M. Sorenson.
«
Merci, Dale. »
Il
prit une gorgée, puis tint le verre sur ses genoux.
«
J'ai ce problème, Dale, mais au regard de notre âge moderne, je
suis toujours un jeune homme. »
«
Oh oui, M. Sorenson, j'ai juste remarqué à quel point vous étiez
rougeaud ! Et plus grand que la vie ! »
M.
Sorenson leva son verre et observa le soleil se couchant au centre de
celui-ci. Puis il prit une autre rasade.
«
Maintenant, vois-tu, Dale, ce sont les filles. C'est comme si toutes
les filles étaient devenues une seule et même fille. Elles portent
toutes des sous-vêtements et du rouge à lèvres et tu peux entrer
en elles d'une façon ou d'une autre et elles peuvent faire un
certain nombre de choses, à toi et pour toi, et puis c'est fini. Je
veux dire, ce qu'elles ont n'a vraiment rien d'exceptionnel, c'est
juste de l'équipement standard. Elles ont peut-être l'air
différentes mais elles sont toutes les mêmes pour moi. Pourtant ce
n'est pas réellement leur faute, elles ne peuvent être plus ou
moins que ce qu'elles ne sont, mais cela ne m'aide pas. Alors, j'ai
des érections mais je ne peux jouir. Bordel, Dale, peut-être
suis-je juste blasé ! Quoi qu'il en soit, "JE NE PEUX VENIR !"
ha, ha, ha ! »
Puis
il se tourna et me fit face :
«
Dale, tu vas résoudre mon problème. »
«
Je vais essayer... »
«
Pas essayer ! Tu vas résoudre mon problème ! Autrement, tu es viré,
compris ? »
«
Oui, je comprends... »
«
Très bien, alors, pense à quelque chose ! »
«
Pour quand avez-vous besoin de cette solution, M. Sorenson ? »
«
Je veux la solution dans ma chambre ce soir, à neuf heures tapantes
! »
«
Mais il est déjà quinze heures. »
«
En quoi ça me concerne ? L'heure n'a jamais été un de mes putains
de problèmes ! »
«
Très bien, 21 h, M. Sorenson. »
Ce
soir-là à 21h je suis allé chercher M. Sorenson dans le salon.
Tandis que nous montions les escaliers nous conduisant à sa chambre
il dit, « ç'a intérêt à être bon, Dale ! »
«
Ce sera quelque chose de nouveau, M. Sorenson. »
J'ai
ouvert la porte et là se tenait cette jeune fille de 18 ans, mûre
et délicieuse ; des seins bien fermes aux tétons rosés ; et elle
avait de longues jambes fines ; un sacré cul. Elle avait l'air
virginale, elle avait dû l'être. De longs cheveux auburn, massifs,
entortillés autour d'elle. Elle avait coûté un prix louable. Elle
sourit à M. Sorenson avec sa bouche parfaite révélant une
dentition parfaite.
«
Voilà Debra, » dis-je à M. Sorenson.
Il
se tourna et grogna dans ma direction : « Hé, petit merdeux, c'est
la même VIEILLE chose ! Je ne peux y arriver avec ce déchet ! »
Les
doigts de sa main droite vinrent s'incruster dans mon épaule.
Je
retirai sa main. « Maintenant, attendez un moment, M. Sorenson, tout
d'abord cette ravissante fille est sous psychotropes. Et aussi, vous
n'avez pas encore rencontré Harry Truman. »
«
Mes couilles ! Je l'ai rencontré deux fois. Un type vraiment chiant.
»
«
Ce Harry Truman, c'est le nom de ce porc. Il se tient là dans le
coin. Vous ne le sentez pas ? »
Sorenson regarda, et vit le porc. « Beurk. Dieu ce qu'il est laid,
n'est-ce pas ? »
«
Le plus laid que j'aie pu trouver. Il fait plus de 130 kilos.
N'est-ce pas la pire invention du monde, si l'on excepte peut-être
la bombe atomique ? »
«
Je pense que Harry Truman est pire. »
«
Quand avez-vous rencontré le président Truman ? »
«
Quand j'étais garçon. Mon père avait arrangé ça, il était au
pouvoir à Washington en ce temps-là. »
«
Truman a dit une chose merveilleuse : "si vous ne pouvez
supporter la chaleur, tenez-vous loin de la cuisine." »
«
Très bien, Dale, la chaleur est bien présente dans la cuisine ! Que
vas-tu faire ? »
«
Hé bien, M. Sorenson, cette charmante, cette belle enfant ici
présente, va ramper sous ce cul putride et cet amas de merde, sous
ce très particulier Harry Truman et prendre sa queue dans sa
ravissante bouche, et va faire courir sa langue sur toute sa longueur
et, pardonnez-moi le vernaculaire, elle va lui faire cracher la
purée. Et tandis qu'elle s'exécute, M. Sorenson, vous pourrez
l'observer et vous astiquer si vous vous en sentez l'envie. »
«
Ne me dis pas ce que je peux faire ! »
«
Ok, M. Sorenson. Mais je veux que vous ayez quelques informations :
un bon porc peut jouir 4 ou 5 fois à la suite. Également, la durée
de l'orgasme est plus longue, plus puissante et la stimulation
nécessaire prend plus de temps que pour nous. »
Sorenson se tenait là.
«
Ok, merde, » dit-il, « mettons-nous-y ! »
Je
suis sorti et me suis mis dans la chambre d'amis adjacente. Sorenson
n'était pas au courant de la vue invisible que j'avais percée à
travers la cloison. Je me suis assis confortablement dans ma chaise,
j'ai ouvert la cloison et j'ai regardé.
Sorenson s'était dévêtu et se tenait là, gras et blanc.
La
fille s'approcha, récupéra beaucoup d'oreillers sur le lit sexuel
de Sorenson, se glissa sous le porc, ses jambes glissant derrière
lui, sa tête proche de son derrière, elle se mit à empiler les
oreillers sous son dos, son cou, sa tête, ainsi elle était élevée
juste au niveau du postérieur du porc.
Sa
tête était très proche.
Elle
se mit à caresser le porc, juste là en dessous.
Rien
ne semblait se produire.
Le
porc se tenait là dans une semi-stupeur.
Ensuite, doucement mais sûrement un petit machin long et rouge se
mit à poindre. C'était rouge écarlate, et ça scintillait.
La
fille le scruta.
Puis
elle prit des touffes de ses cheveux dans chaque main, cette longue
charmante, belle et soyeuse chevelure et se mit à les frotter contre
les parois du porc, une masse de cheveux d'un côté, une masse de
cheveux de l'autre, ce machin éclatant d'une brillance magnifique
frictionné de tous côtés dans le mutisme et l'humidité...
«
BORDEL DE MERDE ! » hurla Sorenson.
Ensuite la fille, Debra, prit ses cheveux et les plaça autour du
petit machin rougeoyant. Puis, elle ouvrit sa bouche et sa langue
rose en sortit comme une flèche et se pressa contre le bout de ce
machin rouge et luisant qui apparaissait à peine, recouvert par la
chevelure auburn.
Le
porc émit un bruit.
Ensuite la fille se mit à frotter sa longue chevelure vers le long
morceau rouge. Cela le recouvrait complètement à certains moments.
À d'autres il glissait à travers. La chose faisait plus de 20 cm,
plus fine que la bite d'un humain mais plus étrange, plus insensée
plus impossible, molle mais excitée, presque diabolique comme si
elle attendait depuis des siècles ce qu'elle avait à faire.
La
fille laissa ses cheveux s'en aller. Elle scruta l'étrangeté
inhumaine de la chose, ce machin devant elle, si proche. Il semblait
y avoir d'autres trucs dont il fallait se préoccuper. Puis, il
semblait ne pas y en avoir. Elle céda. Elle voulut céder.
Soudainement elle l'atteignit avec ses deux mains, l'attrapa, le
machin était diablement vivace mais elle le tenait, c'était comme
un cauchemar qu'elle haïssait mais dont elle avait besoin et elle en
vit le néon pâle comme la mort et elle s'approcha la bouche
ouverte, puis la ferma, elle l'embrassa rapidement et avec vivacité
sept fois... Puis elle retomba en arrière et le fixa.
Puis
d'un seul mouvement rapide elle l'atteignit et avala l'entier long
morceau rouge dans sa bouche et le tint là sans bouger...
Le
porc fit un bruit étrange tout comme le fit Sorenson.
Ensuite Debra laissa le morceau rouge sortir de sa bouche et elle se
plaça en dessous, et laissa courir doucement sa langue sur la
longueur. Le porc gémit et lâcha une caisse. L'odeur était
horrible.
Sorenson s'astiquait le manche.
Ensuite la fille roula sa langue au-dessus du bout du long morceau
rouge et elle se mit à se toucher la chatte dans le même temps.
Puis un doigt entra, fit des allers-retours tandis que sa langue
encerclait le pénis du porc. Puis son doigt sortit de sa chatte et
alors qu'elle frictionnait son clitoris elle prit la queue entière
en bouche et se mit à la sucer avec vigueur, bruyamment, frottant
son clito et laissant son corps se tortiller.
Sorenson continuait à se palucher sauvagement.
Le
porc, Harry Truman, se mit à bouger un peu, ses petits yeux
s'enflammant ; il tremblait. Puis le porc poussa un cri et bondit en
arrière repoussant Debra dans ses oreillers. Alors qu'il sautait
elle essaya d'attraper ses flancs mais ses mains glissaient et sa
tête tomba en arrière.
Sorenson accourut et confectionna à nouveau un monticule d'oreillers
sous le porc. Debra se glissa à nouveau dessous, se positionna et
l'atteignit avec sa bouche et y fourra à nouveau la queue du porc,
suçant comme une folle tout en se caressant le clito.
La
pièce entière était en feu, de la chaude chaleur blanche. Je
n'avais jamais rien vu de tel. Sorenson s'agitait dans tous les sens,
produisant de petits cris rapides. La fille devenait dingue avec la
bite du porc dans sa bouche — suçant, léchant, lapant — elle et
le porc tentant d'obtenir quelque chose de presque impossible,
d’étonnamment vicié.
Debra poursuivait, avec acharnement, devenue totalement esclave de la
queue du porc.
Harry Truman commença à émettre ces sons terribles, à une vitesse
ahurissante, les uns après les autres. Il grognait et pétait. Il
frémissait de part en part, la totalité de sa peau sursautait,
luisant de sueur. Le porc était près de jouir, la fille le sentit
et s'employa encore plus sauvagement, abandonnant tout, oubliant
tout.
Puis
le porc commença à jouir et la fille était complètement démente
et perdue, le suçant, l'attrapant — le sperme gonflait dans
sa bouche, un flot géant et continu, il se déversait hors de sa
bouche, blanc et coulant, une partie tombant dans ses cheveux, elle
poursuivait, l'avalant, ayant tout perdu.
Alors le porc eut fini. La queue sortit de la bouche de la fille.
Elle scintillait et luisait.
Sorenson était toujours en train de se branler.
«
MAGNIFIQUE ! » hurla-t-il à la fille, « maintenant faites-le jouir
à nouveau ! Je veux que vous le fassiez jouir encore CINQ fois ! Je
veux que vous avaliez un gallon de son jus ! »
La
fille sourit.
«
Je l'adore. »
Elle
leva les yeux vers la face inférieure du porc : « Harry Truman...
Je vais... te sucer les tripes jusque dans ma bouche... et au fond de
ma gorge ! Je vais te CONSUMER ! »
Debra s'approcha, ouvrit sa bouche et goba encore une fois la queue
du porc, l'engloutissant avec plus de vigueur que jamais, elle était
dans la psyché du porc, il était démuni et elle aussi
— suçant ce long morceau rouge ; il était hideux et horrible
et impossible.
Le
porc et la femme ne faisaient plus qu'un et ne pouvaient plus se
séparer l'un de l'autre.
Debra s'activa pendant un bon dix minutes, plus sauvage que jamais.
Elle-même jouit deux fois.
Puis
le porc jouit à nouveau, déversant le jus laiteux, submergeant sa
bouche, de nouvelles éclaboussures dans ses cheveux, elle buvait
tout ce qu'elle pouvait : de grandes goulées de foutre de porc.
Elle
était remplie. Elle écarta sa tête, la bouche ouverte et tachée
de sperme, elle scrutait cette ficelle rouge luisant.
Elle
la scruta pendant quelques instants tandis que Sorenson continuait de
se la secouer.
Puis
elle cria d'un cri que je n'avais jamais pu entendre chez aucune
femme, homme ou bête. C'était comme si elle était devenue
profondément aliénée.
Elle
s'approcha et embrassa Harry sur toute la surface de son ventre,
jusque derrière ses jambes, puis elle embrassa la queue, fit courir
sa langue dessus, et ce petit néon rouge invaincu et toujours
détrempé de semence elle le fourra dans sa bouche et le suça comme
si elle essayait de l'arracher à son corps.
Les
yeux minuscules du porc montèrent en spirale ; sa bouche était
ouverte et il inspirait de grandes bouffées d'air, puis les
expulsait. Il péta à nouveau.
Sorenson frottait et grognait. Moi aussi.
Debra retira sa tête et fixa, encore une fois ; elle tremblait,
presque violemment. La plupart du sperme avait séché dans ses
cheveux. Elle paraissait être en état de choc passionnel.
Ensuite la tête de la fille bondit vers le haut telle l'attaque d'un
serpent et elle saisit la queue dans sa bouche et la mordit fort tout
en jouissant.
Le
corps de Debra pompait et sautait, perdu entre les murs.
Le
porc poussa un énorme glapissement de révolte et recula elle
glissait sous lui, le tenant, mordant sa bite, pétrifiée. Alors
tandis qu'elle glissait, la tête de Debra se mit à faire des
tourbillons, tourbillonnant, tourbillonnant et elle donna un violent
coup de mâchoire.
Et
ainsi elle eut la queue du porc dans sa bouche et Harry Truman
courait en cercles autour de la pièce renversant tout sur son
passage, hurlant comme un porc hurle à sa mort, ses petits yeux
s'assombrissant, le sang giclait, saignant à mort alors que Debra
était allongée sur le tapis avec sa queue dans la bouche, pendant
désormais d'un côté, tristement.
Mais
elle avalait du sang ; cela la fit revenir à la réalité. Elle
s'assit, expulsa la queue du porc de sa bouche, la tint dans ses
mains, la regarda avec un immense dégoût et la balança au loin.
Harry Truman était maintenant silencieux, effectuant des cercles de
mort de plus en plus lents. Son sang était partout, un bourbier
rouge de perdition sur les oreillers à 400$ de Sorenson, son tapis à
30 000$, partout ; le sang du porc partout — c'était glissant et
rouge et ça puait bien plus que la merde.
Puis
Harry émit un faible bruit alors qu'il s'était mis à ralentir, une
jambe avant sembla abandonner, puis l'autre. Tout l'avant s'écroula
et il s'assit comme ceci, un peu agenouillé comme s'il était en
train de prier devant un original de Picasso devant lui sur le mur.
Ça ressemblait à une petite comédie. Puis Truman glissa sur son
côté gauche.
Il
était ainsi — raide comme s'il était mort. Peut-être que deux
minutes se sont écoulées. Ensuite les quatre jambes se mirent à
bouger rapidement comme s'il voulait courir... Elles s'arrêtèrent
et il fut silencieux.
Debra restait assise sur le tapis, observant d'un air absent.
Sorenson arrêta de se masturber. Il s'approcha de la fille. Il se
tenait devant elle. Il la regarda. Des éclaboussures de sperme séché
dans ses cheveux. Un visage desséché.
Il
se retourna, accourut vers le placard, claquant d'un coup sec la
porte. Il en ressortir avec une ceinture allant avec ses nombreuses
paires de pantalons. Il sortit, marcha vers Debra, observa sa
désolation, il doubla la ceinture, la fit balancer, la fouetta
contre son visage, ses cheveux volant avec le sperme séché du porc
dessus. Il se branla.
«
SALE PUTE ! » hurla-t-il, « TU AS BUTÉ MON ANIMAL DE COMPAGNIE !
TU AS BUTÉ MON PROTÉGÉ ! »
Le
porc était à peine l'animal de compagnie de Sorenson. Il ne l'avait
jamais vu auparavant. Je ne l'avais vu, moi-même, que durant
quelques heures.
«
TU AS BUTÉ HARRY TRUMAN, MON SEUL ANIMAL ! » hurla-t-il à la
fille.
«
T'AS BUTÉ MON ANIMAL, SALE PUTE ! »
Il
la tira par sa longue et belle chevelure, l'enroulant autour de lui
et tandis qu'il se masturbait il la fouettait avec la boucle de sa
ceinture cognant contre ses fesses.
«
TU AS BUTÉ MON ANIMAL, SALE PUTE ! »
Debra se libéra, trébucha vers l'avant, tomba sur une table basse,
et chuta sur le sol.
Elle
se tourna et regarda Sorenson, la ceinture dans une main, et l'autre
main se frappant violemment les entrailles.
«
Pitié, laissez-moi partir, » le regardait-elle, « oubliez les dix
mille ! je veux juste pouvoir m'en aller ! »
Sorenson parla doucement : « Tu as tué mon animal... Tu vas alors
maintenant... manger la queue... que tu as arrachée... »
«
Non, » dit la fille, « je veux juste rentrer chez moi. Pitié ! »
Sorenson courut et trouva la queue du porc. Elle était juste sous le
Picasso. Il la ramena, du sang s'en écoulait toujours. Il la tint
devant les yeux de Debra. Et ainsi, de petites gouttes de sang
tombaient sur les jambes de Debra alors qu'elle était assise les
jambes croisées et muette de stupéfaction.
«
TU VAS BOUFFER CE MACHIN ! » tenant la chose près de sa bouche.
«
Non ! »
Sorenson lâcha la queue, courut vers la table de chevet, ouvrit le
tiroir et en sortir son Luger. Il sourit.
Sorenson revint vers la fille, l'attrapa par la tête et les cheveux
et braqua le Luger sur sa tempe : « MAINTENANT TU VAS BOUFFER CE
FOUTU MACHIN ! »
«
NON ! »
Elle
l'entendit retirer la sécurité.
Debra s'abaissa doucement et ramassa la chose. Elle la regarda. Elle
se mit à pleurer.
«
MAINTENANT ! BOUFFE-LA ! »
La
fille mit lentement l'extrémité de la chose dans sa bouche. Puis
tout en sanglotant elle en mordit le bout.
«
MANGE-LA ! AVALE-LA ! »
Tandis qu'elle tenait dans ses mains le reste de la queue du porc,
elle mâchait ce qu'elle avait dans la bouche. Un filet de sang
apparut au coin de sa bouche. Elle avala. La tête de la queue était
partie.
Sorenson ne se branlait plus, il se battait sauvagement avec une
main, et tenant le Luger dans l'autre.
«
BOUFFE-LA ! BOUFFE-LA ! BOUFFE-MOI TOUT ! »
Debra mit le reste du pénis dans sa bouche, et ses dents se mirent
au travail, déchirant le truc. Sorenson s'agitait dans tous les
sens.
La
fille retira la chose de sa bouche, regarda Sorenson : « Ce n'est
que du muscle et du cartilage, je n'arrive pas à le mâcher... Je
suis désolée... »
«
ALORS AVALE-MOI TOUT ! AVALE-MOI TOUT ! »
«
Je... ne peux... »
«
TU LE FERAS OU TU MOURRAS ! »
Sorenson se jeta sur la fille, lui tira la tête en arrière par les
cheveux, écartant sa bouche grande ouverte et lui fourrant le Luger
à l'intérieur :
«
SOIS TU AVALES UNE BALLE SOIT TU AVALES CETTE QUEUE ! »
Il
retira le Luger et recula.
La
fille tremblait et sanglotait violemment. Elle plaça la bite près
de ses lèvres. Puis elle poussa la première portion à l'intérieur.
«
MAGNIFIQUE ! MAGNIFIQUE ! » hurla Sorenson, se battant sauvagement à
nouveau. « METS-EN DAVANTAGE, DAVANTAGE ! »
Debra fit une pause, puis poussa davantage la queue du porc dans sa
bouche, une part avait pénétré sa gorge. Il ne restait que le bout
sanglant coincé dans sa bouche.
«
PRENDS TOUT ! PRENDS TOUT ! »
Le
bout sanglant s'évanouit dans les lèvres et la bouche de la fille.
Elle avait des haut-le-cœur et s'étouffait, ses yeux réclamaient
de la pitié. La queue du porc était à moitié coincée au milieu
de sa gorge. La fille paraissait comme si elle était sur le point
d'abandonner.
Sorenson était devenu complètement fou.
«
VAS-Y ! VAS-Y, PRENDS TOUT OU JE TE JURE QUE JE VAIS TE BUTER ! »
La
fille s'y efforça avec puissance, sa bouche et les muscles de son
cou travaillant. Elle était presque en train de s'étrangler avec la
queue du porc mais elle la forçait dans sa gorge à tout prix. Elle
gargouilla de douleur.
«
C'EST PRESQUE DEDANS ! C'EST PRESQUE DEDANS ! TU Y ARRIVES ! »
Sorenson la regardait tandis qu'il se frappait plus violemment que
jamais. Pour finir, proche de l'orgasme, il courut vers Debra, puis
courut derrière elle, attrapa une touffe de ses cheveux auburn, les
entoura autour de sa bite, la pointa au sommet de son visage et se
mit à jouir partout sur elle, la tenant, giclant, la chaleur sauvage
au centre de son crâne, s'écoulant vers le bas. Il se mit à gémir
lamentablement, la tenant toujours là. Puis, il eut fini. Il la
retira.
«
Ok, » dit-il, « casse-toi de là. »
La
fille se releva, marcha tout étourdie, trouva ses vêtements, les
ramassa. Elle laissa ses chaussures. Elle sortit de la chambre.
J'ouvris la porte voisine et l'interceptai dans le couloir.
«
Laissez-moi partir ! » dit-elle, « PITIÉ ! »
Je
lui ai tendu l'enveloppe marron. « L'argent, Debra... Prenez-le...
Et, je suis désolé... »
La
fille attrapa l'enveloppe et courut au bout du couloir. Je la vis
tourner puis elle disparut.
Je
suis retourné vers la chambre de Sorenson, j'ai frappé à la porte.
Pas de réponse. J'ai ouvert la porte. Il n'était pas là.
Je
l'ai trouvé dehors dans la véranda, scrutant à nouveau le
Pacifique, vautré dans sa chaise longue. Il m'avait entendu arriver
mais il ne me regarda pas.
«
Tu sais, » dit-il, « nous n'avons pas à jeter ce porc. Je déteste
les côtes de porc mais on pourrait utiliser le lard. Ça ne sert à
rien de gâcher totalement ce porc. C'était un porc mémorable. »
«
Je vais m'en charger, M. Sorenson. »
«
Sers-toi un verre, Dale. »
«
Merci, Monsieur. »
Je
suis retourné à l'intérieur, me suis servi un double whisky à
l'eau et suis revenu. Je me suis tenu là près de lui, tenant mon
verre. Il m'a regardé et souri.
«
C'était une belle fille. »
Nous
avons tous les deux scruté le Pacifique. Il était d'un bleu sale.
Sorenson leva son verre en ma direction.
«
Santé, » dit-il.
«
Santé, » dis-je.
Nous
avons trinqué. Puis Sorenson me gratifia d'un léger sourire.
«
Tu sais, Dale, la vie est belle, n'est-ce pas ? »
«
Oh oui, » lui répondis-je.
«
Pauvre Lenny Bruce, » dit-il.
M.
Sorenson s'affala encore plus dans sa chaise longue, but une autre
rasade, mit le verre sur ses genoux et émit un petit soupir. Cette
nuit particulière touchait à sa fin.
#balancetonporc hahahahaha
RépondreSupprimer